segunda-feira, 11 de maio de 2009

Des livres et des cendres (documentaire)

Le film présente plusieurs livres qui parlent de la relation entre le sujet et le monde. Cette relation difficile, ce besoin de comprendre ce qu’on fait là. Chaque auteur discuté a mis en évidence les problèmes de vivre dans notre société de consommation, les psicoses individuelles, la violence, les rélations entre individus, etc. Selon la psicanalyse tous ces tourments sont embrionnés pendant l’enfance, pour éclore à l’age adulte. C’est quand on dévient adulte que les problèmes existenciels commencent. À un certain age on est presque obligé de savoir ce qu’on veut faire de notre vie, et si on ne le sait pas, on est mis de côté par la société. Les amis disparaissent. La famille s’arrache les cheveux. Notre monde exige qu’on ait un job, qu’on étudie toujours, qu’on se marrie, qu’on soit heureux. Et pour cela on doit consommer les « pilules » du bonhour. C’est ça que les medias nous vendent, des pilules du bonheur. Est-ce qu’on devient heureux ? Apparament. Mais au fond, comme demonstre le film, on se tourne vers soi-même et on se demande si on est vraiment bien. Si les expectatives ont été atteintes. Si on s’était immaginé comme ça à trente, quarante ans. Et là, je pense, commence la descente vers les enfers, pour ceux qui n’ont pas réussi à s’adapter à la vie de tout les jours, au monde qu’on vit, à certaines atitudes des proches. Les raisons peuvent être infinies, mais le fait est que si on ne s’adapte pas, on rentre dans un tourbillon de doutes et malheurs, de desespoir et solitude, et parfois la mort est la meilleur amie de toutes. Nous, les humains, savont être méchants avec nos semblables, et aussi avec les autres créatures du monde. Nous sommes de vrais égoïstes à la recherche de nos égos. Et tampis pour ce que se trouve au millieu de notre chémin.

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